samedi 31 octobre 2009

L'allée d'accès


Ce samedi commençaient les vrais travaux. Enfin des bruits de pelleteuse, des gros trous dans le terrain et des gaines de toutes les couleurs dans tous les sens!
L'objectif du week-end était de faire l'allée d'accès au chantier en décaissant 280m2 de terrain pour y déposer de la grave spéciale qui limitera l'affaissement du terrain lorsque les toupies de béton ou camions de plus de 10 ou 20 tonnes viendront livrer les matériaux.


Une mini-pelle avait donc été louée pour le week-end, ainsi qu'un petit camion benne pour le transport de la terre. Au final, en quelques heures, grâce au savoir faire de Fabrice, aux commandes de l'engin, le décaissage et la tranchée pour les gaines étaient terminés.






Restait plus qu'à poser le bidim (un rouleau de géotextile qui permet d'éviter que la végétation ne repousse) et de le recouvrir du mélange de grave et de chaux livré la veille.


Normalement, deux jours avaient été prévus pour ces travaux mais un seul fût nécessaire. On a même eu le temps de déplacer le noyer qui se trouvait au beau milieu de la chambre, au fond du jardin. On verra bien s'il reprend racine.



Alors étant donné qu'on ne pouvait rien faire de plus le dimanche, j'en ai profité pour ramasser les rosés des prés qui avaient poussés sur le terrain et j'ai même été chercher des cèpes dans les bois d'à coté, j'en ai trouvé qu'un, mais un beau !


L'allée a été terminée le week-end d'après en une petite journée. Ce qui nous a encore laissé le temps de retourner aux cèpes avec Fabrice. Voici le résultat de l'allée :

mercredi 28 octobre 2009

La grange

Sur le terrain il y avait déjà une grange de 60m² qui est bétonnée au sol et possède 2 box en dur. Ils abritaient autrefois les cochons. A l'extérieur, collés à la bâtisse en bois : 2 clapiers à lapin et une grande volière à pigeon. Ca peut toujours servir...

Vu l'état de la grange, il va falloir y faire quelques travaux, notamment sur la toiture où la poutre centrale est cassée. On verra ça plus tard, en attendant, un étai soutient le tout, c'est du costaud.





Cependant, pendant la semaine où j'étais en vacances, il
fallait que je trouve de quoi m'occuper en attendant le terrassement. Du coup j'ai fais une porte pour l'un des box afin de pouvoir y stocker les outils sans craintes (ou presque). J'ai récupéré quelques morceaux de bois qu'il y
avait dans la grange et j'ai racheté ce qu'il manquait. Au final ça fait une porte presque esthétique ;)

lundi 12 octobre 2009

La clôture




Le jour où nous avons négocier le prix d'achat du terrain, nous avions réussi à descendre le prix mais en contre partie, la cloture qui nous sépare du voisin devait être à notre charge. Du coup en
attendant que le terrassement soit fait nous en avons profité pour faire cette séparation. Nous avons choisi quelque chose de simple et de pas trop cher tout en étant assez costaud pour ne pas avoir à recommencer dans 2 ans : Grillage sur piquets d'acacia.

Mes grands parents et mon frangin était là pour l'occasion.





Sans eux, les piquets n'auraient pas pu être tous posés en un week-end !
Au final, tout était bien droit et cela nous permet désormais de mieux nous rendre compte de la superficie du terrain.



Le week-end suivant Mimi et moi avons posé le grillage. C'est pas bien compliqué, ça demande juste un peu de patience pour mettre les agrafes. Mais Mimi a vite chopé le coup (et toujours avec souplesse) :


samedi 3 octobre 2009

On prépare le terrain




La séance autographe chez le notaire était à peine terminée qu'on attaquait déjà les premiers travaux. Trois objectifs pour le week-end : Afficher le permis de construire devant le terrain , casser les 5 mètres du mur de clôture qui bouche notre allée d'accès et poser les piquets pour marquer l'emplacement de la maison. (à gauche sur la photo on a les pieds dans notre chambre)









Il n'y avait rien de bien compliqué à poser la pancarte du permis de construire mais il s'agissait néanmoins d'une étape importante au projet. Ca fait bizarre de voir son nom indiqué devant un grand terrain comme ça et de se dire que c'est à nous maintenant ! C'est difficile aussi de ne plus nommer notre voisin : "le propriétaire" ;)

Les premières forces étaient donc réservées à la seule démolition de notre projet : Le mur de cloture. A première vue, rien de bien méchant. D'ailleurs en quelques minutes la quasi-totalité des parpaings étaient tombés.

Mais la suite fût moins amusante, les aller/retour en brouette pour ramasser les gravats n'en finissait pas. C'est trop dur, on abandonne tout ! hehehe Non, heuresement c'est pas quelques moellons qui vont nous faire douter !!! N'est-ce pas Mimi?



Au final nous étions satisfait du résultat, désormais nous ne seront plus obligé de passer par l'entrée du voisin pour nos travaux.